J arrive solo, sur ce son et j ai toujours pas besoin de featuring, venere, j enfile les gants, et monte enfin sur le ring. la cloche retentit et je balance le 1er couplet, toujours aussi incisif zt tranchant qu un couperet. y a la foule qui s afollent et puis toutes les foufes qui mouillent. 2, 3 patates de cowboys et je mettrais fins à s t embrouille. Chacun son plaisir, moi c'est ce qui me fait bander, accelerer la vitesse de ce morceau pour te faire bader, comme la bande à bader, ici y'a pas d'air, juste un haut parleur qui crie la misère jusqu’à pas d'heure, ouais jeune padawan, j'suis la ferrari du peura et pas le pousse pousse de taiwan j'suis pas rentable, laisse tomber la consommation de carburant. J'tourne pas au gasoil, mais au sky, et au désinfectant. c'est rageant, harrassant, t'en a assez. De me voir en faire des tonnes et de pas pouvoir me devancer. Mon son te fais danser commer un boxer dans ton boxer, a une ballerine tu me fais penser. Trop blessures à panser c'est vrai et insensé, dur de les ressansser. des cicatrices laissé à chaque année passees. Depuis le collège et l epoque des collage, je me sentais déjà inspiré. Decollage : Des phrases et du phrasé, déphasé des phases et des pavés. Dépravé nous sommes, en Somme quand enfin le son nous assomme et rebondi comme personne. Quand résonne et sonne le microphone dans le sonotone, ouais j en fais des tonnes et tu convulsionne comme avec Parkinson pahhh