#quandtudanses / Free prod / #hallofcrew / Tu es la, possessive et omniprésente Dans ma repentance, comme je te représente De quelques lettres, quelques lignes, parmi les poésies Ne me laisse jamais de répit, le repos m’est int-erdit J’aurai voulu connaître l’homme au bouquet de nerf Aux désirs noirs, celui qui nous chanter l’Angleterre Peut être lui m’aurait apporté la réponse Comment se débarrasser de toi et sortir de tes ronces Tu n’es qu’un parasite, un vers entre mes mots Tu me tilt et me split, tu ressemble au verre de trop Électrique, statique, je te retrouve partout L’ailleurs est ici, ouai, tu m’as trouvé permis les fous Salope en costume de dame de bonne famille Tu sais créer l’incendie d’un départ de brindilles Le feu qui me consume te rends plus vivante Et cette chaleur fait renaître une colère latente Rf : Aucune femme de joie n’est plus pute que toi Quand tu danse avec moi c’est un puissant feu de joie Qui s’empare de mon corps, c’est comme un poison Le Cyr en fusion sous les flammes du Dragon Explosion ardente, pyromane à temps complet Les cendres des années innocentes sont parties en fumées Il n’y a pas d’artifice, je porte ton flambeau Je ressens les frémissements, les crépitements sous la peau Ouai au carrefour des choix j’ai pas choisi la bonne direction J’ai pris le chemin du feu de bois, en direction de l’éruption Avec une vieille torche rouillée comme seule lumière Pour guider chaque pas aux portes de l’enfer Parce que l’enfer ouai c’est toi Une bombe qui traverse mon corps à chaque fois T’as laissé en cendre les projets et mon âme J’attends le coupe-feu pas le retour de flamme Parce que l’enfer c’est toi c’est ta présence C’est le parfum du souffre, c’est l’odeur de l’essence C’est le diable incarné, pas celui de vos bouquins C’est un pervers embrasé, qui nous tient par la main