J’ai Pas l’habitude de m’exposé, la plume jl’a prend et viens posé ces quelques lignes avant d’implosé, rien d’important, un façon pour moi d’exteriorisé de relativisé face aux difficulté Et meme si j’ai morflé, comme tout les soirs jm’endormirais dans les bras de morphée Apres quelques verres j’ai parfois versé quelques larmes, rien d’alarmant dans mes vers c’est juste la verité. J’ai déverser l’encre de ma plume sur ce papier mon ecriture est a gauche mon buvard j’l’ai imbibé Jl’aisse la magie opéré, mon son n’est pas un opéra, c’est du vrai pe-ra, jpeut t’en parler autour d’un apero. J’ai mis les plein phares meme un marin en mer pourrait me Repérer. Jreprend du service, tu connais l’vice, c’est au bord du précipice que ma voix et mon echo s’unisse. J’viens pas de Varsovie Mais de vodka nos verres en sont bien rempli Dans mes vers jamais avare de rimes Mon flow rafale tellement jpourrait etre inculpé pour crime, MEA CULPA, jplaidrait coupable, pendu avec mes cordes vocales J’assemble des lettres en fait des mots, les mots j’en fait des lettres a t’en donner des maux de têtes, Comme ARSENIK je boxe avec les mots gros, Si tu m’ecoute J’éveille tes sens, J’brule d’impatience comme un depart de feu d’forêt avec dl’essence. J’ai pas la science infuse, mais si tu ferme les yeux ta vie s’ra sombre Et meme si tu l’refuse tu n’sera jamais suivi que par ton ombre. Des coups j’en ai pris un bon nombre, chui rester un bonhomme, ils etaient en surnombre chui resté autonome J’embrasse mes potes toujours présent et ceux parti trop tôt Parfois je lève la tête, contemple le ciel la nuit tombé jme dit que c’est trop bête, un coup d’volant, une vie gaché. Dans la vie danse comme si personne te regardait frere, travail comme si tu n’avait pas besoin d’oseille et en Amour aime comme si tu n’avait pas souffert