Je vis la où la mémoire se perds, l'émoi y a sa place parmi ce monde de cœurs de pierre. Je les brise avec une pioche de fer, aider autrui, c'est aussi aux cœur de l'faire, C'est pour ma miff qui ne survive armés qu'avec leurs arts, âmes , ou leurs taff Tôt ou tard, on passera des rires aux larmes car ces politiques y largue leurs flammes, Ici sans tunes-tu meurs, impoli, je leurs crache un lard-mo, Nos mots sont pour eux une tumeur, leurs guerres un virus, qui ne cesse de prendre de l'ampleur, Ils sèment la peur dans les yeux des gens, éduque des cons, fais de l'argent, Puis si tu tues tu deviens une légende, Les temps sont rudes, mais qui a dit que les tensions durent ?