J'essaye d'écrire de grandes choses même si j'ai plus les mots J'essaye de dire la vérité, même si jsais que j'ai tort Ce que je fait de bien ou de mal, c'est pas pour les autres Quand mon pote parle d'un sujet, je comprenais pas le rapport Avec La religion, Jésus, ou bien ses apôtres Je fais qu'abandonner, toute façon je fais pas d'efforts Il faut que je protège les miens, sorry pas les vôtres Je ferai pleins de grandes choses en attendant la mort Mes paroles sont chaleureuses comme ceux de la mama Les sons des cloches sonnent pour débuter le vacarme Kellogs dans le bol, je me pose sur le sofa Si y a la guerre , jsuis prêt à brandir mon arme Texte Victor On parle de guerre comme si c’était juste des mots, mais un canon qui s’allume, c’est des destins en morceaux. Chaque chargeur est rempli de regrets, de larmes non versées, quand la haine devient le seul moyen de se faire respecter Des armes, j'en ai plein, dans mes armoires, dans mes poches Comme un dilleur, je les vends pour me péta une porche En lisant le journal, quel tristesse, quel crime bancal Tous les jours en bas de page, tous cela n'est pas normal Les meurtres en deviennent des parodies Pour les keufs ce n'est plus qu'une simple mélodie J'attends mes sous, ça fait 2 mois nègro C'est en dessous, qla cocaïne est poser par des escros