Terminagor
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l'ultime sentence

l'ultime sentence

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12 Aug 2021

- le ciel s'ouvre, l'orage claque et le tonnerre se fait entendre. semble-t-il être l'heure de l'ultime sentence? même les choses futiles m'enchantent, souffrance il manque mutilent ensemble. la mort m'engloutit lentement, stupide comme un soupir d'enfants. je veux, lutter dignement donne m'en le courage et la force, estomaqué je m'accroche à l'idée de soulager l'atroce. l'envie de tout lâcher m'approche, seconde après seconde, la mort est-elle délivrance nous ne le saurons qu'après ce monde. - toc toc toc, je viens sous ce cadre crépusculaire, je m'appelle crise cardiaque et j'viens faire dépérir ta jugulaire, un pantin désarticuler, qu'importe ta masse musculaire, ça s'cache sous la forme d'un ulcère, pour te l'prouver par A plus B, t'es mort, il y a pas de cas suspect. arbor une conduite adulée. j'absorbe tes ondes vitales rusé, t'acorse ton calme immaculééé, saisir les armes quasi hasardeusement voilà donc ton dessin, il y a pas de hasard là pour éteindre et mettre un terme à ton destin! (refrain): - I've been the knee to the power of the lower now, the univers will give me wath i'm looking for. - // nothing to do with wath i've never seen before. - je reviens sur mes traces remonte le compteur à l'envers, revois chaque minute de mon passé, mais ne le fait pas sans gêne. cela n'était donc pas un mythe, une fois l'ultime sentence atteinte, mon existence défunt s'inviter, au cours d'une lancinante étreinte. regrets, remords, nostalgie s'entre choque à vitesse grand V. à l'instant T de mon ral habiter je vis ciel tremblé. pourquoi ai-je prêcher la démence, pourquoi ai-je presser la détente et n'ai-je pas souhaité la clémence, qu'hélas je m'essay à quémander. les corps dérailler de Lorgue, qui me rappellent à l'ordre. et je donnerai tout pour pas me faire enrôler par la bête à corne. sur toutes mes actions scélérates, loin des bastions vénérable, je crache, abjure ses immondices et descend de mon pied d'estale. happé par c'plafond céleste, j'umes d'exquises senteur végétale, priant l'salut d'mon âme placée au creux des mains de l'Éternel. le souverain à délibéré, mon rythme cardiaque en déclin, mon dernier coup d'éclat c'est voit qui sonne le commencement de la fin! (refrain). FIN

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3 years ago

mec c incroyable

3 years ago

- le ciel s'ouvre, l'orage claque et le tonnerre se fait entendre. semble-t-il être l'heure de l'ultime sentence? même les choses futiles m'enchantent, souffrance il manque mutilent ensemble. la mort m'engloutit lentement, stupide comme un soupir d'enfants. je veux, lutter dignement donne m'en le courage et la force, estomaqué je m'accroche à l'idée de soulager l'atroce. l'envie de tout lâcher m'approche, seconde après seconde, la mort est-elle délivrance nous ne le saurons qu'après ce monde. - toc toc toc, je viens sous ce cadre crépusculaire, je m'appelle crise cardiaque et j'viens faire dépérir ta jugulaire, un pantin désarticuler, qu'importe ta masse musculaire, ça s'cache sous la forme d'un ulcère, pour te l'prouver par A plus B, t'es mort, il y a pas de cas suspect. arbor une conduite adulée. j'absorbe tes ondes vitales rusé, t'acorse ton calme immaculééé, saisir les armes quasi hasardeusement voilà donc ton dessin, il y a pas de hasard là pour éteindre et mettre un terme à ton destin! (refrain): - I've been the knee to the power of the lower now, the univers will give me wath i'm looking for. - // nothing to do with wath i've never seen before. - je reviens sur mes traces remonte le compteur à l'envers, revois chaque minute de mon passé, mais ne le fait pas sans gêne. cela n'était donc pas un mythe, une fois l'ultime sentence atteinte, mon existence défunt s'inviter, au cours d'une lancinante étreinte. regrets, remords, nostalgie s'entre choque à vitesse grand V. à l'instant T de mon ral habiter je vis ciel tremblé. pourquoi ai-je prêcher la démence, pourquoi ai-je presser la détente et n'ai-je pas souhaité la clémence, qu'hélas je m'essay à quémander. les corps dérailler de Lorgue, qui me rappellent à l'ordre. et je donnerai tout pour pas me faire enrôler par la bête à corne. sur toutes mes actions scélérates, loin des bastions vénérable, je crache, abjure ses immondices et descend de mon pied d'estale. happé par c'plafond céleste, j'umes d'exquises senteur végétale, priant l'salut d'mon âme placée au creux des mains de l'Éternel. le souverain à délibéré, mon rythme cardiaque en déclin, mon dernier coup d'éclat c'est voit qui sonne le commencement de la fin! (refrain). FIN

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