le stylo sous pression quand la plume part aujourd'hui j ai l impression qu la poésie des bitumes stagne, c est ma prophétie moi mon cœur parle, écriture d humeur sale j viens d osculter l rap, une maladie grave en phase terminale, ses acteurs divague les rappeurs trop occupé par l argent ratent le principal, fait de l art avant toute chose, moi vouloir le coupable, pour proceder au découpage sort du troupeau propulsé dans mes couplets, mes problèmes s la coule douce se promène jusqu a l outro le kung fu, dans mon art, la paix intérieure dans mon âme le coup d foudre dans mes phrases perché au sommet d un arbre j remet ça j remercie les forêts c est mon message jsuis en marge de cette mer de merde vis en cage t es sous l aile de l aigle je plane au dssus, j vous prends de haut sans plateau d sucre moi je reste sobre t es fier de faire d la tôle, moi d avoir vécu libre mes phases ne sont pas drôles,car je suis érudit mes egotrips ne sont pas vide de sens fond et forme s accordent, ensemble laissant des prod qui pisse le sang j arrive en balle sur l art des lettres je rap sans armes a balles réelles je vise les âmes, les coeurs des frères et soeurs, en larmes en face des guerre selon l église, l enfer est féminin mes rimes s enflamment et deviennent assassine mec, un monde sans femme c pas l paradis donc en clair ferme ta gueule et met y fin je livre mes 4 vérité sur les bpm sans jouer les prophètes né bien loin de Bethléem, ma devise est promesse, reste ni dieu ni maitre mes chemises au collège en garde le souvenir des pochettes noirci aux slogans punk, a l époque j ai choisi d être authentique donc a bas les codes j ai ma propre éthique loin de celle de l école tee shirt antifasciste devant la gueule des profs je suis cracheurs de feu mes mots sont des flammes aucun rappeur ne peut venir dire qu il m égal dans la bouche de ces gueux, les mots sont des larmes, dans l entrailles de mon feu, chaque lettre est arme je n suis qu un chien sans laisse j n écris rien de sensass pourtant j écris sans cesse poussé dans ma lancé j essaie d rester sensé quand les rimes s enlacent s entassent sur le papier près d cent tasses de café car j écris la nuit le soir et le Matin les cris dans le noir d espoir et de chagrin la joie, la peine, la fête et la tristesse la foi, la mienne et même parfois l ivresse en bref je me livre, presque tout entier en fait pour vivre j ai presque tout tenté je m enpresse de vous le dire, pour que tout soit bien clair l entraide sincere va mourir, et qu elle repose en paix dans la pénombre solitaire ou jme recueil la lumière m est solidaire jusqu a mon prénom devant deux feuilles, lucifer, sait y faire j pressens l éveil de mes sens face au présent démon un monde oppressant où des monstres se présente je ceuille la course contre la montre et la remonte mon temps se compte en millions de secondes, j les sens qui courent dans tous les sens, bien trop vaste est le monde