RPZ DZ

Cœur perdu

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Cœur perdu

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03 May 2021

Une femme nue, j’en ai vu qu’une seule car je connaissais son cœur Depuis elle a brisé le mien, pas de soucis, sans rancœur Enfin un peu quand même, depuis dessus j’ai un œdème Pourtant je savais que j’étais foutu, au moment où je t’ai dit "je t’aime" Je voulais continuer cette histoire bien qu’elle était illusoire Tu me comblais de bonheur, je relisais notre conversation tard le soir Maintenant je repense à nos bons moments et je commence à m’émouvoir Je ne peux pas t’en vouloir, me faire du mal, tu m’avais prévenu Mais tu me faisais du bien, je te croyais pas, je restais têtu J’étais posé dans mon canapé à croire que ça ne m’arriverait Mais voilà que je pose pour me délivrer T’avais des fou rires parfois des larmes J’étais la main qui les ressuyer mais depuis c’est la même main qui essuie les miennes Continuer à t’aimer pour souffrir, quel décision cornélienne Tu m’as ouvert les yeux quand j’étais aveuglé par l’amour Mais jamais je pourrai les refermer à cause de mes douleurs qui resteront pour toujours Quelle joie que j’avais quand je touchais tes joues Elles étaient si molles, mes mains étaient moites et mon cœur mou Mon torse trempé, mes jambes tremblotantes Ahh comment je t’aimais comme un fou Depuis ce sentiment qui est l’amour me hante Vais-je me reconstruire ? C’est à moi d’en décider Notre histoire j’en parle comme un rêve, mais ça c’est vraiment réaliser T’étais gracieuse comme une élysée Mais notre bout de chemin s’est terminé

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3 years ago

Une femme nue, j’en ai vu qu’une seule car je connaissais son cœur Depuis elle a brisé le mien, pas de soucis, sans rancœur Enfin un peu quand même, depuis dessus j’ai un œdème Pourtant je savais que j’étais foutu, au moment où je t’ai dit "je t’aime" Je voulais continuer cette histoire bien qu’elle était illusoire Tu me comblais de bonheur, je relisais notre conversation tard le soir Maintenant je repense à nos bons moments et je commence à m’émouvoir Je ne peux pas t’en vouloir, me faire du mal, tu m’avais prévenu Mais tu me faisais du bien, je te croyais pas, je restais têtu J’étais posé dans mon canapé à croire que ça ne m’arriverait Mais voilà que je pose pour me délivrer T’avais des fou rires parfois des larmes J’étais la main qui les ressuyer mais depuis c’est la même main qui essuie les miennes Continuer à t’aimer pour souffrir, quel décision cornélienne Tu m’as ouvert les yeux quand j’étais aveuglé par l’amour Mais jamais je pourrai les refermer à cause de mes douleurs qui resteront pour toujours Quelle joie que j’avais quand je touchais tes joues Elles étaient si molles, mes mains étaient moites et mon cœur mou Mon torse trempé, mes jambes tremblotantes Ahh comment je t’aimais comme un fou Depuis ce sentiment qui est l’amour me hante Vais-je me reconstruire ? C’est à moi d’en décider Notre histoire j’en parle comme un rêve, mais ça c’est vraiment réaliser T’étais gracieuse comme une élysée Mais notre bout de chemin s’est terminé

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