Je suis de retour et les faux me fuient comme la peste, Si tu m’crois pas, ramène ta gueule, et puis crois-moi, t’aimerais pas test, T’aimerais jaqueter derrière mon dos, mais moi je préfère le face à face, Essaie, j’te tuerai pas, mais j’irai crever toute ta race, On est boostés par la rage et on se drogue à la peine, Avec des blessures sur le cœur et de l’encre noire dans les veines, T’aimerais négocier afin d’éviter le carnage, Tu dois savoir que rapper et sucer ne font jamais bon ménage, Attention, vous êtes prévenus, je libère ma furie, Et le monde entier vient me supplier à genoux d’arrêter la tuerie, Dans une autre vie, j’aurais aimé être un volcan, Mais l’hemdoullah que ch’ui un rebelle, et non un foutu pion à la con, Trop de rappeurs inactifs, trop de mensonges et d’étiques, Trop de commentaires et d’articles, et trop de lèches-culs politiques, A la recherche de thune, pendant que moi la haine me forge, Et c’est de là d’où vient le respect, je n’embrasse pas je tranche la gorge, Pas besoin de festivals, je sais que sans, je peux m’en sortir, Si l’amitié n’est plus qu’un masque et que les coups de putes se font sentir, Pas d’ambitions si je ne visais que la fortune, Moi je prendrai ma bite à deux mains et je viserai le cul de la lune,