Rachid Chafai

Gangsta (03:52)

Rachid Chafai
Gangsta (03:52)

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17 Apr 2021

À décrire ma vie avec tant de fautes C’est l’heure de la fête quand j’joue pas d’fraude affronte des idéologies à la Freud dans la tête c’est Israël et Palestine qui s’affronte, Combien de larmes dans le silence/ combien se meurent en silence/ combien malheureux en silence /et si j’lance la première pierre qui sera témoin de l’insouciance En silence la flèche et si lente qu’on ne s’aperçoit pas du malheureux quand on sirote/ et si/ les royaumes s’élevaient rien ne prouve/ qu’on s’y rendraient/ sans que le sang ne s’deverse comme en Syrie/ Gilet jaune un tas de procrastinateur consommateur d’alcool et de tabac, Dans l’electronique l’electrique les gros menteur les rabat Dans les stades tout un tas de stat’ des taxes, des transactions jusqu’au states Des Bill Gates implication de chef d’Etat dans des Xgates’ des leaks en ligne des tas de chose a voir à lire en ligne de mire, une contrée sans rien de pire, empire sans rire complotiste dans l’au delà on y voit l’ideale, dans ce monde ne régne que nos idoles, Printemps arabe sous des milliers de balles, gilets jaune hivernal La maladie est virale, si rare que s.il râle c.est que le pouvoir d’achat n’est pas si rose et si on les arrose c’est Les cerveaux anesthésiés qui sirote dans le genre, On prend soin d’ouvrages classés art, de sevrage classé aux bars, je croyais que la pression montait en kilobarre, Un flow de daron découle le fleuve les mains sales un savon, à défaut de finir savant au Louvre, ne négliger pas la force qui a la source est la réplique de votre force, au désordre j’repond avec la famille les sortir de la famine les ambitions qui culmine, le cul sur une mine le foulard a résumé nos coutumes nos hymnes le soûlard fais du bon art rare de voir un arabe aux beaux art, bizarre comme how bizarre J’ai investit le rap comme un jeune festif d’Trappes, Ma famille me manque, pas de kilo à la banque derrière le mariage ont se planque une alliance qui fais mal au cœur partagé entre le sûr et la peur trop de sueur pour tant de rancoeur le mal est là hélas, élan d’amour dans un monde au delà ou l’assurance s’assure qu’à l’au delà, de l’envie comme à l’ancienne on envie virage mal contrôlé jeunesse désespérer Consume un bedots en costume Sans jamais cherché à ce que sa blesse Lache le poison qui te pèse Dit la vérité à qui sa ne plaise Lache se qui te détruit à petite braise Juste c’est toi moi eux nous deviens fou on devine avant toi le pouchka jeutave pour l’hadj/ pour trouver le bon endroit le bon moment on reste agile sur fond zieute la marchandise/ la gourmandise t’hantise t’habitue à la ruse/ use le usy comme un russe/ les gosses on prie le relais et fonce à donf’/ attention à ceux qui lache pas le trône si tu tiens à ton crâne change de chaînes avant que tu te crame.... La diligence passe une fois par vent/ défend l’abile comme l’abeille que les frelons abime/ j’reste sur la bic ou j’habite seul le vent se fais entendre car quand l’âge n’est plus tendre à mon futur j’dois entendre me murmurer dans la tampe/ laisse la place si t’as réussit le palace laisse une bonne trace si le pavé ne veux pas d’un papillon à t’appeler des traces La réalité la jeunesse a du cœur là où la meute chante en chœur le son de ta peur/ noir est la fleur les pleurs en guise de remords jongler avec la mort, le sort des anciens qui faisaient aujourd’hui c’est la fée et la fête les euros tourne dans la veste faut profiter et vite évite les mythes et le mitard en cuir sur la moto/ en vidéo sur le phone/ en deux roues sur la photos/

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3 years ago

À décrire ma vie avec tant de fautes C’est l’heure de la fête quand j’joue pas d’fraude affronte des idéologies à la Freud dans la tête c’est Israël et Palestine qui s’affronte, Combien de larmes dans le silence/ combien se meurent en silence/ combien malheureux en silence /et si j’lance la première pierre qui sera témoin de l’insouciance En silence la flèche et si lente qu’on ne s’aperçoit pas du malheureux quand on sirote/ et si/ les royaumes s’élevaient rien ne prouve/ qu’on s’y rendraient/ sans que le sang ne s’deverse comme en Syrie/ Gilet jaune un tas de procrastinateur consommateur d’alcool et de tabac, Dans l’electronique l’electrique les gros menteur les rabat Dans les stades tout un tas de stat’ des taxes, des transactions jusqu’au states Des Bill Gates implication de chef d’Etat dans des Xgates’ des leaks en ligne des tas de chose a voir à lire en ligne de mire, une contrée sans rien de pire, empire sans rire complotiste dans l’au delà on y voit l’ideale, dans ce monde ne régne que nos idoles, Printemps arabe sous des milliers de balles, gilets jaune hivernal La maladie est virale, si rare que s.il râle c.est que le pouvoir d’achat n’est pas si rose et si on les arrose c’est Les cerveaux anesthésiés qui sirote dans le genre, On prend soin d’ouvrages classés art, de sevrage classé aux bars, je croyais que la pression montait en kilobarre, Un flow de daron découle le fleuve les mains sales un savon, à défaut de finir savant au Louvre, ne négliger pas la force qui a la source est la réplique de votre force, au désordre j’repond avec la famille les sortir de la famine les ambitions qui culmine, le cul sur une mine le foulard a résumé nos coutumes nos hymnes le soûlard fais du bon art rare de voir un arabe aux beaux art, bizarre comme how bizarre J’ai investit le rap comme un jeune festif d’Trappes, Ma famille me manque, pas de kilo à la banque derrière le mariage ont se planque une alliance qui fais mal au cœur partagé entre le sûr et la peur trop de sueur pour tant de rancoeur le mal est là hélas, élan d’amour dans un monde au delà ou l’assurance s’assure qu’à l’au delà, de l’envie comme à l’ancienne on envie virage mal contrôlé jeunesse désespérer Consume un bedots en costume Sans jamais cherché à ce que sa blesse Lache le poison qui te pèse Dit la vérité à qui sa ne plaise Lache se qui te détruit à petite braise Juste c’est toi moi eux nous deviens fou on devine avant toi le pouchka jeutave pour l’hadj/ pour trouver le bon endroit le bon moment on reste agile sur fond zieute la marchandise/ la gourmandise t’hantise t’habitue à la ruse/ use le usy comme un russe/ les gosses on prie le relais et fonce à donf’/ attention à ceux qui lache pas le trône si tu tiens à ton crâne change de chaînes avant que tu te crame.... La diligence passe une fois par vent/ défend l’abile comme l’abeille que les frelons abime/ j’reste sur la bic ou j’habite seul le vent se fais entendre car quand l’âge n’est plus tendre à mon futur j’dois entendre me murmurer dans la tampe/ laisse la place si t’as réussit le palace laisse une bonne trace si le pavé ne veux pas d’un papillon à t’appeler des traces La réalité la jeunesse a du cœur là où la meute chante en chœur le son de ta peur/ noir est la fleur les pleurs en guise de remords jongler avec la mort, le sort des anciens qui faisaient aujourd’hui c’est la fée et la fête les euros tourne dans la veste faut profiter et vite évite les mythes et le mitard en cuir sur la moto/ en vidéo sur le phone/ en deux roues sur la photos/

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