#lepeupleaime , Free prod. Ça faisait longtemps. 😉 J’reviens sortir le venin : On voit les baffe on voit les Tonfa on voit les pompes aux pieds des fafas On voit les flics les bavures on voit les bavoirs les dollars la rue, les clochards, on voit les costards les anars les coups d’ceinture, on voit les bleues, on voit l’ordure on voit l’vicieux On voit les élites au pouvoir on voit les monarques, on voit les trottoirs et mains tendues qui ne trouve que quelques marques On voit la vie on voit la mort on voit l’amour on voit les corps On voit la rage dans le décor on voit des tours qui tombent sans efforts On voit des salles de concerts on voit des entrailles on voit un mec et ses viscères s’planquer sous son camarade On voit des hommes à terre pour avoir fait quelques dessins on voit des mères on voit des père mais eux verront pas leur destins On voit des tags on voit des larmes mais eux ne voient que des vandales On voit les grands faire la morales pendant qu’la bas ça vend des armes On voit l’systeme on voit l’détail les éoliennes et les chemtrails On voit l’commerce on voit l’chantage on voit la poudre on voit les failles / Refrain / On voit les putes les escrocs farouches et les influenceur, on voit les politiques faire le show sur Facebook et Twitter On voit rouge en fin du moins, on chiale pas c’est chill et ça nous va, on voit la courge on voit Marlene Schiappa chez Cyril hanouna On voit les soldats, les kalash au bout des doigts, on voit l’armée descendre la savane pour rependre la joie On voit les chars en masse, chasseur de prime, les villageois, les villes en joue pour quelques vautours enragé qui portent le vile en jarre (Gaara!) On voit des mises à morts des mises de porc des coffres forts les carillons résonnent à l’appel des conquistadors On voit du peura d’pauvre les rimes sont vides les caméras petent les scores On voit des culs on voit d’la maille on voit que d’la brume et des escort On voit des p’tites putes bourrées, on boit du champagne, on voit des joueuses de flûte dépareillées déguisées en compagnes On voit du chivas, du caviars et des teilles qui valent ton smic des p’tites petasses en léopard qui puent l’oseille et l’Amérique On voit des investisseurs, des disques à la chienne, des fringues sorties tout droit des usines thai et vietnamiennes On voit des cobra s’la jouer gang on voit des flingues dans les clips, on voit des gros bras qui en ont plus en poche que dans l’slip On voit des masques anti-coro à l’effigie des clubs de foot Société perdue, dès cerveaux proches de la banqueroute x2