El grande

mon rap

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19 Jun 2020

on rap choque comme une nonne qui fume le crack à Vincennes - tatouée, sapée très sex’, bafouée pour vingt cents. Un défilé de cinq Benz avec rien que des noirs ou un nain homo qui danse le pogo avec dix skins. Gaze, comme un bec bunzen, moi c’est breakdance boogie. Les tiens font miskine. Je représente les miens comme Denzel. Ex-rooki, frère digne, jamais plein de zèle et sur mon polo, des impacts de balles forment mon logo. Les autres font rire comme Bozo le clown, se comportent comme au zoo. Je suis une félonie. Anti-vikings, je crée des colonies. Black Napoléon. Homme caméléon. Bing ! On pille le pays comme Mesrine. On envahit Virgin, les villas et les villes, les piscines. On boit de la téquila. Ma famille, mon cocon. Choquons nos ex-colons, embrochés du cul au cou par des sexes trop longs. Des tresses sous un collant Dim, des Tims’, des textes trop longs. Je vois rouge comme les peaux, parqués dans les réserves. Je couche avec les black squaws, squatte leurs tipis. Pire qu’un hippie, je respire du pavot, pas vous. Je grave la vraie vie dans le pavé, comme les gars des grottes de Lascaux. Comme Vasco de Gama, je suis à la recherche d’espaces vierges à infiltrer comme Donnie Brasco dans la mafia. Donc je suis parano, speed, comme Martin Payne sous cocaïne. J’ai la haine, jusqu’au jean Calvin Klein. Je représente mon clan. J’ai le feeling comme Marvin Gaye. Trop de flûteurs. Je suis un king comme Martin Luther.

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4 years ago

on rap choque comme une nonne qui fume le crack à Vincennes - tatouée, sapée très sex’, bafouée pour vingt cents. Un défilé de cinq Benz avec rien que des noirs ou un nain homo qui danse le pogo avec dix skins. Gaze, comme un bec bunzen, moi c’est breakdance boogie. Les tiens font miskine. Je représente les miens comme Denzel. Ex-rooki, frère digne, jamais plein de zèle et sur mon polo, des impacts de balles forment mon logo. Les autres font rire comme Bozo le clown, se comportent comme au zoo. Je suis une félonie. Anti-vikings, je crée des colonies. Black Napoléon. Homme caméléon. Bing ! On pille le pays comme Mesrine. On envahit Virgin, les villas et les villes, les piscines. On boit de la téquila. Ma famille, mon cocon. Choquons nos ex-colons, embrochés du cul au cou par des sexes trop longs. Des tresses sous un collant Dim, des Tims’, des textes trop longs. Je vois rouge comme les peaux, parqués dans les réserves. Je couche avec les black squaws, squatte leurs tipis. Pire qu’un hippie, je respire du pavot, pas vous. Je grave la vraie vie dans le pavé, comme les gars des grottes de Lascaux. Comme Vasco de Gama, je suis à la recherche d’espaces vierges à infiltrer comme Donnie Brasco dans la mafia. Donc je suis parano, speed, comme Martin Payne sous cocaïne. J’ai la haine, jusqu’au jean Calvin Klein. Je représente mon clan. J’ai le feeling comme Marvin Gaye. Trop de flûteurs. Je suis un king comme Martin Luther.

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