Dans les cités de France 3
Leandre18 Plays
•29 days ago
Dans les cités de France, les destins s’entrecroisent, Les regards sont durs, les espoirs se brisent en morceaux On parle de réussite, mais le chemin est miné, Chaque jour une bataille, t’as intérêt à tenir la ligne. Les petits frères traînent, les grands frères tombent, La rue éduque, mais la leçon est souvent sombre. Les tours se dressent, immuables sous le ciel gris, Où l’avenir est flou, et le passé jamais guéri. C’est la vie dans les blocs, où tout s’entrelace, Les rêves se heurtent aux murs, mais rien n’efface La force qu’on garde, malgré les failles, Dans les cités de France, on survit, on défie l’orage. Les lumières s’éteignent, mais les ombres restent, La nuit est longue, les âmes cherchent leur place. On parle d’évasion, mais les chaînes sont lourdes, L’espoir est un luxe, qu’on paye à prix d’or dans le four. Les keufs patrouillent, mais le respect s’estompe, Entre chien et loup, les rêves tournent en rond. Les rires masquent les pleurs, les cœurs se blindent, Dans ce décor bétonné, où le temps nous contraint. C’est la vie dans les blocs, où tout s’entrelace, Les rêves se heurtent aux murs, mais rien n’efface La force qu’on garde, malgré les failles, Dans les cités de France, on survit, on défie l’orage. Les couleurs de la France se mélangent ici, Les origines diverses, mais le même cri. On cherche la paix, mais la route est criblée de doutes, On avance ensemble, mais chacun trace sa route. Les anciens racontent, les jeunes écoutent d’une oreille, Mais l’avenir est à construire, sous le poids des merveilles. On rêve de mieux, on veut briser les chaînes, Mais la réalité est rude, et le bitume nous freine. C’est la vie dans les blocs, où tout s’entrelace, Les rêves se heurtent aux murs, mais rien n’efface La force qu’on garde, malgré les failles, Dans les cités de France, on survit, on défie l’orage. Dans les cités, on se bat, on rêve, on persiste, Les épreuves sont nombreuses, mais la flamme résiste. Un jour, peut-être, on verra l’horizon se dégager, En attendant, on écrit nos vies, dans les ruelles blessées.
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dsl l'effet eco n'est pas voulu
Dans les cités de France, les destins s’entrecroisent, Les regards sont durs, les espoirs se brisent en morceaux On parle de réussite, mais le chemin est miné, Chaque jour une bataille, t’as intérêt à tenir la ligne. Les petits frères traînent, les grands frères tombent, La rue éduque, mais la leçon est souvent sombre. Les tours se dressent, immuables sous le ciel gris, Où l’avenir est flou, et le passé jamais guéri. C’est la vie dans les blocs, où tout s’entrelace, Les rêves se heurtent aux murs, mais rien n’efface La force qu’on garde, malgré les failles, Dans les cités de France, on survit, on défie l’orage. Les lumières s’éteignent, mais les ombres restent, La nuit est longue, les âmes cherchent leur place. On parle d’évasion, mais les chaînes sont lourdes, L’espoir est un luxe, qu’on paye à prix d’or dans le four. Les keufs patrouillent, mais le respect s’estompe, Entre chien et loup, les rêves tournent en rond. Les rires masquent les pleurs, les cœurs se blindent, Dans ce décor bétonné, où le temps nous contraint. C’est la vie dans les blocs, où tout s’entrelace, Les rêves se heurtent aux murs, mais rien n’efface La force qu’on garde, malgré les failles, Dans les cités de France, on survit, on défie l’orage. Les couleurs de la France se mélangent ici, Les origines diverses, mais le même cri. On cherche la paix, mais la route est criblée de doutes, On avance ensemble, mais chacun trace sa route. Les anciens racontent, les jeunes écoutent d’une oreille, Mais l’avenir est à construire, sous le poids des merveilles. On rêve de mieux, on veut briser les chaînes, Mais la réalité est rude, et le bitume nous freine. C’est la vie dans les blocs, où tout s’entrelace, Les rêves se heurtent aux murs, mais rien n’efface La force qu’on garde, malgré les failles, Dans les cités de France, on survit, on défie l’orage. Dans les cités, on se bat, on rêve, on persiste, Les épreuves sont nombreuses, mais la flamme résiste. Un jour, peut-être, on verra l’horizon se dégager, En attendant, on écrit nos vies, dans les ruelles blessées.
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