Angels
Mael**Couplet 1 :** J'suis né dans l'ombre, là où les rues sont froides, 667, c’est la zone, les rêves se cassent à chaque rodage, Chaque jour, c’est la même, faut qu’ça brasse, qu’ça fasse des sous, Dans l’bâtiment, les regards lourds, les âmes s’usent sous les coups. Y a d'la dope dans les veines, on survit comme on peut, La poudre tourne en boucle, ça crée des liens vicieux, Les p'tits montent la garde, surveillent les halls cramés, Les flics passent en sirène, mais jamais on va parler. Les nuits sont blanches, les jours se ressemblent, Bénéfice dans les poches, les consciences tremblent, Dans ma tête, c’est le chaos, mais j’avance sans réfléchir, 667, c'est pas l'paradis, c’est l'enfer qu’on fait reluire. **Refrain :** Dans le 667, on vit par les lois du béton, Drogue dans les sacs, billets dans les blousons, J'regarde les étoiles, mais j'vois qu'des illusions, Dans ce quartier maudit, y a pas d'issue, juste des visions. **Couplet 2 :** Les grandes gueules parlent d'sortie, mais personne s'évade, C’est la street qui t’appelle, même quand tu veux ton calme, Le crack, la coco, l'herbe, ça fait tourner la machine, Les balles sifflent parfois, mais ça n’arrête pas l’destin. J’suis pas là pour juger, j’suis là pour survivre, Ici on rêve plus, on compte les billets, on les livre, Mon pote est tombé hier, j’ai même plus la force de pleurer, 667, c’est la tombe des espoirs qu’on a laissé s'brûler. Là où les anciens s'rappellent des jours un peu moins sombres, Mais le présent est trop lourd, il nous enterre dans l’ombre, Les flics cherchent des coupables, mais ils savent qu’on est tous pris, Pris dans cette toile, la drogue en filigrane, on s'enfuit. **Refrain :** Dans le 667, on vit par les lois du béton, Drogue dans les sacs, billets dans les blousons, J'regarde les étoiles, mais j'vois qu'des illusions, Dans ce quartier maudit, y a pas d'issue, juste des visions. **Pont :** Les murs murmurent des secrets qu’on étouffe, Les larmes coulent sous les capuches qu'on bouffe, Les p’tits veulent sortir, mais ils n’ont plus la force, Le 667, c’est l’enfer qui nous torche. **Couplet 3 :** Les flammes des briquets éclairent nos sombres rues, J’suis debout sur les cendres de mes rêves perdus, La poudre blanche sale nos mains, elle glace nos cœurs, Dans le 667, tout l'monde cherche sa lueur. Les grands tombent, les p'tits prennent leur place, Les familles pleurent, mais personne n'efface, Les stigmates du terrain, ça reste gravé sur nos corps, D’la came à chaque coin, ça nous consume encore. Mon frère est parti, il s'est perdu dans l'néant, J’rallume une clope, les souvenirs sont sanglants, Dans c’monde où les billets prennent la vie de l’homme, 667, quartier d'encre, où l'espoir se gomme. **Refrain final :** Dans le 667, on vit par les lois du béton, Drogue dans les sacs, billets dans les blousons, J'regarde les étoiles, mais j'vois qu'des illusions, Dans ce quartier maudit, y a pas d'issue, juste des visions. --- Ce texte sombre et brut capture l'essence d'une vie dans un quartier marqué par la violence, les illusions, et la drogue, le tout avec un ton réaliste et sans concession.
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**Couplet 1 :** J'suis né dans l'ombre, là où les rues sont froides, 667, c’est la zone, les rêves se cassent à chaque rodage, Chaque jour, c’est la même, faut qu’ça brasse, qu’ça fasse des sous, Dans l’bâtiment, les regards lourds, les âmes s’usent sous les coups. Y a d'la dope dans les veines, on survit comme on peut, La poudre tourne en boucle, ça crée des liens vicieux, Les p'tits montent la garde, surveillent les halls cramés, Les flics passent en sirène, mais jamais on va parler. Les nuits sont blanches, les jours se ressemblent, Bénéfice dans les poches, les consciences tremblent, Dans ma tête, c’est le chaos, mais j’avance sans réfléchir, 667, c'est pas l'paradis, c’est l'enfer qu’on fait reluire. **Refrain :** Dans le 667, on vit par les lois du béton, Drogue dans les sacs, billets dans les blousons, J'regarde les étoiles, mais j'vois qu'des illusions, Dans ce quartier maudit, y a pas d'issue, juste des visions. **Couplet 2 :** Les grandes gueules parlent d'sortie, mais personne s'évade, C’est la street qui t’appelle, même quand tu veux ton calme, Le crack, la coco, l'herbe, ça fait tourner la machine, Les balles sifflent parfois, mais ça n’arrête pas l’destin. J’suis pas là pour juger, j’suis là pour survivre, Ici on rêve plus, on compte les billets, on les livre, Mon pote est tombé hier, j’ai même plus la force de pleurer, 667, c’est la tombe des espoirs qu’on a laissé s'brûler. Là où les anciens s'rappellent des jours un peu moins sombres, Mais le présent est trop lourd, il nous enterre dans l’ombre, Les flics cherchent des coupables, mais ils savent qu’on est tous pris, Pris dans cette toile, la drogue en filigrane, on s'enfuit. **Refrain :** Dans le 667, on vit par les lois du béton, Drogue dans les sacs, billets dans les blousons, J'regarde les étoiles, mais j'vois qu'des illusions, Dans ce quartier maudit, y a pas d'issue, juste des visions. **Pont :** Les murs murmurent des secrets qu’on étouffe, Les larmes coulent sous les capuches qu'on bouffe, Les p’tits veulent sortir, mais ils n’ont plus la force, Le 667, c’est l’enfer qui nous torche. **Couplet 3 :** Les flammes des briquets éclairent nos sombres rues, J’suis debout sur les cendres de mes rêves perdus, La poudre blanche sale nos mains, elle glace nos cœurs, Dans le 667, tout l'monde cherche sa lueur. Les grands tombent, les p'tits prennent leur place, Les familles pleurent, mais personne n'efface, Les stigmates du terrain, ça reste gravé sur nos corps, D’la came à chaque coin, ça nous consume encore. Mon frère est parti, il s'est perdu dans l'néant, J’rallume une clope, les souvenirs sont sanglants, Dans c’monde où les billets prennent la vie de l’homme, 667, quartier d'encre, où l'espoir se gomme. **Refrain final :** Dans le 667, on vit par les lois du béton, Drogue dans les sacs, billets dans les blousons, J'regarde les étoiles, mais j'vois qu'des illusions, Dans ce quartier maudit, y a pas d'issue, juste des visions. --- Ce texte sombre et brut capture l'essence d'une vie dans un quartier marqué par la violence, les illusions, et la drogue, le tout avec un ton réaliste et sans concession.
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