Dans les rues sombres, la vie me rend sociopathe,
black TaïgaDans les rues sombres, la vie me rend sociopathe, Le loup noir c’est moi, dans ce monde je garde mon regard sibyllin, Les choses de la vie, délétères, je les comprends, Quand j’ai commencé ce soliloque, j'ai senti le destin. Les épreuves et les douleurs, j'en ai fait mon carburant, Dans ce chaos, je trouve ma force, mon élan, Les cicatrices sur mon cœur, témoins de mes combats, J'avance sans relâche, car mon âme ne connaît pas le trépas. Les rimes s'entremêlent, mes pensées se libèrent, La plume est mon arme, mes mots comme des lames acérées, Je peins ma réalité, celle d'un monde impitoyable, Où seuls les plus forts survivent, où la faiblesse est blâmable. Sociopathe, solitaire, je trace mon chemin, À travers les ombres, je cherche mon destin, Le loup noir hurle dans la nuit, sauvage et indompté, Je suis prêt à affronter l'obscurité, à me battre, à avancer. La vie m'a sculpté, m'a forgé dans la douleur, Mais je reste debout, malgré les heures sombres, Car dans chaque vers, chaque refrain, je trouve ma flamme, Et je danse avec mes démons, dans ce rap qui m'enflamme.
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Dans les rues sombres, la vie me rend sociopathe, Le loup noir c’est moi, dans ce monde je garde mon regard sibyllin, Les choses de la vie, délétères, je les comprends, Quand j’ai commencé ce soliloque, j'ai senti le destin. Les épreuves et les douleurs, j'en ai fait mon carburant, Dans ce chaos, je trouve ma force, mon élan, Les cicatrices sur mon cœur, témoins de mes combats, J'avance sans relâche, car mon âme ne connaît pas le trépas. Les rimes s'entremêlent, mes pensées se libèrent, La plume est mon arme, mes mots comme des lames acérées, Je peins ma réalité, celle d'un monde impitoyable, Où seuls les plus forts survivent, où la faiblesse est blâmable. Sociopathe, solitaire, je trace mon chemin, À travers les ombres, je cherche mon destin, Le loup noir hurle dans la nuit, sauvage et indompté, Je suis prêt à affronter l'obscurité, à me battre, à avancer. La vie m'a sculpté, m'a forgé dans la douleur, Mais je reste debout, malgré les heures sombres, Car dans chaque vers, chaque refrain, je trouve ma flamme, Et je danse avec mes démons, dans ce rap qui m'enflamme.
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