Caporite Trinita

2ème Acte, Élise

Caporite Trinita
2ème Acte, Élise

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3 months ago

On s’est croisé quand je revenais de soirée, "T’étais avec un pote entrain de te poser, Je voulais encore boire alors je suis passé," C’est la ou j’ai pu commencer à me présenter, On s’est embrassé,  serré et ma tête tu a fais tourner, A califourchon sur moi, ton corps m’a fait rêvé, Pourtant j’étais au toilette mais t’a essayé de me réconforter, Tu était la cause de mon éTAT et tu m’a soulagé, Comme si un tueur à gage le Serment d’Hyppocrate il avait prêtés, Avec toi mon esprit je le sens s’évader, Vers de lointaines contrée, dont seule moi peut prétendre visiter, Et revenir entier, sans revenir marqué, L’Éliacube s’est activé, les Cénobites sont de soirée, De manière sporadique on s’est revu, toujours entouré, Jusqu’a 6 mois plus tard, ou tous seule on s’est accroché, Avec toi le monde ne faisait que tourner, tandis que j’étais fixé, Sur la chaise et sur mon sort car les dés avaient déjà été jetés, C’est là où faire l’amour à été réalisé,  Alors que je tournais mes doigts, tes gémissements je pouvais écouter, L’amour se trouve dans le pré, qui lui même se trouve enfumé, Enrhumé ou assoiffé le rituel du soir était réalisé, Fumée blanche sortant tout droit de mes poumons dans un soupir, Tu étais avec moi et alors je voyais ton sourire, Souffrir n’existait plus tandis que le Verbe peu à peu se maîtrise, Tu m’abrutissait et à la fois me forçait à réfléchir, Et crois-moi avec l’alcool, ta jalousie t’a ressortie, De petite amie tu devenais pire ennemis, Me rendais fous, et mon corps tu a fais subir, Alors j’arrêtais et partais tout simplement dormir, T’appelle ça de l’évitement j’appelle ça de l’instinct de survie, Tu étais omniprésente au cours de ma vie, pourtant l’avis Des gens n’est pas favorable à ton égard, et je les envie, Car si l’intelligence nous libère, les ignorants sont bénis, Tu a pu m’emmener dans des recoins de mon Esprit plein de Folie, Même des malades n’hésitent pas à fuir, devenu sain d’esprit Je ne voyais pas encore le prix mais que des gens qui prie pour ma survie, A voir mes yeux rouges sang que tu m’a donné, gage de ton infamie, Comportement erratique, alterne joie et haine subite, Tu me donnais tellement la dalle des fois à m’en faire vomir, A tout degueulasser à repeindre le carrelage de ma bile, Comment tu as pu osée et ton parfum encore m’inspire, Élise  Et si jamais un jour je devais parler en code, Je dirais que les sanglots longs des violons de l’automne, Blessent mon cœur d’une langueur monotone, Personne à la Haine comme monopole, j’brise l’œil de cyclopes Ouija dort les Esprits se réveillent, et s’endort le village, L’homme est un loup pour l’homme, que dès chiens je ne peux que voir, Les Alphas disparaissent au profit des Bétàs et dès rats, Avec Élise on se retrouve sur la Lune à invoquer nos Avatars, Le voile de l’Eau se libère mais c’est de l’alcool que je vais boire, Je suis maître de mon avis, Pan dort dans sa voiture, SDF Car, vive Marie-Joëlle Élise a un autre nom, Marie-Jeanne Marijuana

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On s’est croisé quand je revenais de soirée, "T’étais avec un pote entrain de te poser, Je voulais encore boire alors je suis passé," C’est la ou j’ai pu commencer à me présenter, On s’est embrassé,  serré et ma tête tu a fais tourner, A califourchon sur moi, ton corps m’a fait rêvé, Pourtant j’étais au toilette mais t’a essayé de me réconforter, Tu était la cause de mon éTAT et tu m’a soulagé, Comme si un tueur à gage le Serment d’Hyppocrate il avait prêtés, Avec toi mon esprit je le sens s’évader, Vers de lointaines contrée, dont seule moi peut prétendre visiter, Et revenir entier, sans revenir marqué, L’Éliacube s’est activé, les Cénobites sont de soirée, De manière sporadique on s’est revu, toujours entouré, Jusqu’a 6 mois plus tard, ou tous seule on s’est accroché, Avec toi le monde ne faisait que tourner, tandis que j’étais fixé, Sur la chaise et sur mon sort car les dés avaient déjà été jetés, C’est là où faire l’amour à été réalisé,  Alors que je tournais mes doigts, tes gémissements je pouvais écouter, L’amour se trouve dans le pré, qui lui même se trouve enfumé, Enrhumé ou assoiffé le rituel du soir était réalisé, Fumée blanche sortant tout droit de mes poumons dans un soupir, Tu étais avec moi et alors je voyais ton sourire, Souffrir n’existait plus tandis que le Verbe peu à peu se maîtrise, Tu m’abrutissait et à la fois me forçait à réfléchir, Et crois-moi avec l’alcool, ta jalousie t’a ressortie, De petite amie tu devenais pire ennemis, Me rendais fous, et mon corps tu a fais subir, Alors j’arrêtais et partais tout simplement dormir, T’appelle ça de l’évitement j’appelle ça de l’instinct de survie, Tu étais omniprésente au cours de ma vie, pourtant l’avis Des gens n’est pas favorable à ton égard, et je les envie, Car si l’intelligence nous libère, les ignorants sont bénis, Tu a pu m’emmener dans des recoins de mon Esprit plein de Folie, Même des malades n’hésitent pas à fuir, devenu sain d’esprit Je ne voyais pas encore le prix mais que des gens qui prie pour ma survie, A voir mes yeux rouges sang que tu m’a donné, gage de ton infamie, Comportement erratique, alterne joie et haine subite, Tu me donnais tellement la dalle des fois à m’en faire vomir, A tout degueulasser à repeindre le carrelage de ma bile, Comment tu as pu osée et ton parfum encore m’inspire, Élise  Et si jamais un jour je devais parler en code, Je dirais que les sanglots longs des violons de l’automne, Blessent mon cœur d’une langueur monotone, Personne à la Haine comme monopole, j’brise l’œil de cyclopes Ouija dort les Esprits se réveillent, et s’endort le village, L’homme est un loup pour l’homme, que dès chiens je ne peux que voir, Les Alphas disparaissent au profit des Bétàs et dès rats, Avec Élise on se retrouve sur la Lune à invoquer nos Avatars, Le voile de l’Eau se libère mais c’est de l’alcool que je vais boire, Je suis maître de mon avis, Pan dort dans sa voiture, SDF Car, vive Marie-Joëlle Élise a un autre nom, Marie-Jeanne Marijuana

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