Dans la ville qui ne dort jamais, chaque rue a son histoire, Où les rêves s'entremêlent dans une danse illusoire. Masques sur les visages, secrets à chaque coin de rue, La vie défile, les cicatrices du passer cacher par le future Au rythme des métros, des cœurs battent à l'unisson, Des rêves brisés, mais l'espoir reste en prison. Les buildings touchent le ciel, mais l'âme reste humble, Dans ce monde agité, où le temps s'écoule. Les écrans éblouissent, chaque pixel raconte une histoire, Des selfies aux sourires forcés, une quête de la gloire. Entre likes et followers, la quête d'une validation, Mais dans l'ombre, l'authenticité se perd en illusion. Les ruelles résonnent des échos d'une vie pressée, Où l'amour se cherche dans une jungle encombrée. Des amitiés sincères aux trahisons amères, Chaque pas laisse une empreinte sur la terre. C'est la vie en ce moment, un rap de l'instantané, Où les émotions s'entremêlent dans un monde connecté. Dans cette symphonie urbaine, chacun joue sa partition, Car la vie, c'est une chanson en perpétuelle évolution. Dans les rues de la vie, chaque pas résonne, Les échos du passé, dans mon cœur raisonnent. La mélodie du temps, douce et infinie, Les souvenirs s'entremêlent, comme une symphonie. Les rêves tissés dans les fils du destin, Cherchant la lumière, dans l'obscurité sans fin. Les cicatrices parlent, mais l'amour guérit pas Sur la partition de l'âme, chaque note s'écrit. Les regards échangés, dans le clair-obscur, Des émotions profondes, comme un murmure. Les larmes versées, dans l'ombre du crépuscule, Mais la résilience danse, comme une danseuse agile. Les rimes s'entrelacent, comme des serments, Le rap doux, un refuge, pour les cœurs battants. Sur le bitume de la vie, mes pas tracent, Une poésie urbaine, où l'amour enlace. Alors je dépose ces mots, comme des pétales, Sur le chemin de l'âme, une mélodie duale. Le rap doux, une étreinte, dans la nuit silencieuse, Où les rêves prennent vie, dans l'ombre lumineuse.