Dans l'ombre des plantations, dans le silence oppressant, Résonnent les fers, les cris, un passé déchirant. Esclavage, chaînes serrées, vies brisées, Le rap comme plume, sur ces pages à jamais tracées.Au cœur des champs, sous le soleil implacable, Des mains liées, des regards vers l'inaccessible. Mais dans chaque regard, une étincelle de résistance, L'abolition comme promesse, une lueur d'espérance.Harriet Tubman, guide courageuse dans l'obscurité, S'élevant contre l'injustice, symbole de liberté. Frederick Douglass, voix rebelle dans la nuit, Les mots comme armes, la plume comme bruit.L'abolition résonne comme un hymne de victoire, Mais l'ombre persiste, l'écho d'une histoire noire. Les chaînes tombent, mais les cicatrices demeurent, Rap comme remède, sur des maux qui pleurent.De la Déclaration d'Indépendance à l'émancipation, Une nation façonnée par une douloureuse transformation. Le rap comme témoin, dévoilant chaque cicatrice, Luttant contre l'oubli, chaque ligne, une résistance.Le rêve de l'égalité, une route encore à parcourir, Des siècles d'injustice, le poids à abolir. Le rap comme cri, dénonçant chaque injustice, Les rimes comme écho, dans une lutte sans artifice.Des chaînes métalliques aux chaînes mentales, L'abolition comme éclat, brisant les idéaux. Rap comme histoire, comme témoignage vibrant, L'abolition de l'esclavage, un chapitre dansant.