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album lueur : 14- pas à pas vers le changement

album lueur : 14- pas à pas vers le changement

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6 months ago

Dans les rues sombres où les ombres dansent, Le bitume résonne, chaque pas révérence. Écoute le grondement de la ville qui chante, Des rimes crues, des vérités qui hantent. Mon esprit en ébullition, comme une marmite, Des rêves d'évasion, loin des limites. Dans le crépuscule, la lueur des révoltes, Des quartiers oubliés, des destins qui révoltent. Les beats répètent les échos du ghetto, Les cicatrices de la vie, les blessures en stéréo. Je trace des lignes, des strophes en ciment, Mon rap, un cri de la rue, un hymne dément. Entre les buildings, je déroule ma plume, Des rimes acérées, comme des lames qui s'aiguisent. Les mots fusent, percutent, résonnent dans l'asphalte, Mon rap, une échappatoire dans cette jungle asphaltée. Dans ce monde sans pitié, où les rêves s'effritent, Je rappe ma réalité, ma vie en équilibre. Entre les ruelles, je trace mon chemin, Mon rap, une lueur d'espoir dans l'obscurité sans fin.Sur le rythme du quotidien, la symphonie urbaine, Les pulsations du ghetto, une mélodie profane. Les regards parlent, des histoires sans parole, Des destins entrelacés, des tragédies qui décolorent. Les ruelles révèlent des secrets bien gardés, Des rêves brisés, des espoirs éventrés. Les graffitis sur les murs, des poèmes silencieux, Chaque tag, une émotion, un cri audacieux. La nuit s'installe, la cité s'électrise, Les étoiles masquées par les lumières qui hypnotisent. Je marche seul, parmi les ombres qui murmurent, Le bitume sous mes pieds, ma plume qui s'aventure. Je décris l'âme des rues, chaque coin obscur, Les visages masqués, les silhouettes qui murmurent. Mon rap, un reflet, une fenêtre sur la réalité, Dans ce monde implacable, ma voix en clarté. Les beats résonnent, comme le cœur de la ville, Les souvenirs s'entrechoquent, chaque note distille. Entre les buildings, je trouve ma vérité, Mon rap, un cri sincère dans cette vie abstraite. Alors, laissez résonner les mots dans l'éther, Mon rap, une échappatoire, un éclat sincère. Dans l'ombre des ruelles, je trace ma route, Mon flow, une danse rebelle, une symphonie brute.Sous les néons clignotants, la danse des ombres s'anime, Chaque rue, un chapitre, chaque coin, un poème sublime. Les cicatrices du bitume racontent des légendes, Des vies écorchées, des destins en suspens. Les beats martèlent l'asphalte, une pulsation rebelle, Mon rap, une épopée, une voix dans la nasse citadelle. Les rimes comme des éclats de verre sur le macadam, Écorchent les illusions, révèlent le tréfonds de l'adam. Je défile dans les ruelles, pieds nus sur les pavés, Les échos du passé, les murmures des damnés. Mon rap, une peinture sonore, un tableau réaliste, Dans cette jungle de béton, ma plume persiste.

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6 months ago

Dans les rues sombres où les ombres dansent, Le bitume résonne, chaque pas révérence. Écoute le grondement de la ville qui chante, Des rimes crues, des vérités qui hantent. Mon esprit en ébullition, comme une marmite, Des rêves d'évasion, loin des limites. Dans le crépuscule, la lueur des révoltes, Des quartiers oubliés, des destins qui révoltent. Les beats répètent les échos du ghetto, Les cicatrices de la vie, les blessures en stéréo. Je trace des lignes, des strophes en ciment, Mon rap, un cri de la rue, un hymne dément. Entre les buildings, je déroule ma plume, Des rimes acérées, comme des lames qui s'aiguisent. Les mots fusent, percutent, résonnent dans l'asphalte, Mon rap, une échappatoire dans cette jungle asphaltée. Dans ce monde sans pitié, où les rêves s'effritent, Je rappe ma réalité, ma vie en équilibre. Entre les ruelles, je trace mon chemin, Mon rap, une lueur d'espoir dans l'obscurité sans fin.Sur le rythme du quotidien, la symphonie urbaine, Les pulsations du ghetto, une mélodie profane. Les regards parlent, des histoires sans parole, Des destins entrelacés, des tragédies qui décolorent. Les ruelles révèlent des secrets bien gardés, Des rêves brisés, des espoirs éventrés. Les graffitis sur les murs, des poèmes silencieux, Chaque tag, une émotion, un cri audacieux. La nuit s'installe, la cité s'électrise, Les étoiles masquées par les lumières qui hypnotisent. Je marche seul, parmi les ombres qui murmurent, Le bitume sous mes pieds, ma plume qui s'aventure. Je décris l'âme des rues, chaque coin obscur, Les visages masqués, les silhouettes qui murmurent. Mon rap, un reflet, une fenêtre sur la réalité, Dans ce monde implacable, ma voix en clarté. Les beats résonnent, comme le cœur de la ville, Les souvenirs s'entrechoquent, chaque note distille. Entre les buildings, je trouve ma vérité, Mon rap, un cri sincère dans cette vie abstraite. Alors, laissez résonner les mots dans l'éther, Mon rap, une échappatoire, un éclat sincère. Dans l'ombre des ruelles, je trace ma route, Mon flow, une danse rebelle, une symphonie brute.Sous les néons clignotants, la danse des ombres s'anime, Chaque rue, un chapitre, chaque coin, un poème sublime. Les cicatrices du bitume racontent des légendes, Des vies écorchées, des destins en suspens. Les beats martèlent l'asphalte, une pulsation rebelle, Mon rap, une épopée, une voix dans la nasse citadelle. Les rimes comme des éclats de verre sur le macadam, Écorchent les illusions, révèlent le tréfonds de l'adam. Je défile dans les ruelles, pieds nus sur les pavés, Les échos du passé, les murmures des damnés. Mon rap, une peinture sonore, un tableau réaliste, Dans cette jungle de béton, ma plume persiste.

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