dans les rues de la ville, l'écho des pavés ou les rêve s'envolent ,mais l'espoir est gravé ma vie un beat chaque bâttement me raisonne les cicatrices du bitume chaque rues me façonne j'ai grandi dans l'ombre des buildings de beton où les rêves se brise mais j'ai pas dit mon dernier mot mon flow c'est ma voix mais mot comme des armes contre l'injustice, la rue, les larmes on m'a dit "t'es rien" mais je rêve en couleur comme un graffiti sur le mûr ,je pein ma propre heure les rimes ma révolte le micro mon arme contre la misère, la haine qui désarme Dans le ghetto, la vie est une partie d'échecs , Chaque coup porté, chaque choix, chaque effet. Mais je trace ma route, même si c'est sinueux, Mon rap, ma lumière dans ce monde ténébreux. Je viens des bas-fonds, mais je vise les étoiles, Les rêves sont mes ailes, chaque mot, une escale. Alors, écoute mon histoire, mon rap comme un cri, Dans ce monde de béton, où seul le flow me suit. Les nuits sont longues, les rêves éphémères, Dans la cité des ombres, je reste solidaire. Les rimes fusent comme des balles dans la nuit, Contre l'adversité, je maintiens ma plume en lutte. Les regards froids, les ruelles sombres, Mais mon flow, c'est ma lumière, mon propre royaume. J'écris avec l'encre de ma vie, sur le parchemin du bitume, Chaque strophe une évasion, chaque refrain une plume. J'ai des cicatrices, des histoires gravées dans ma peau, Les épreuves du passé, mais je reste au-dessus de l'eau. Les basses résonnent, la rue est mon studio, Chaque couplet une fresque, chaque mot un écho. Je suis le poète des rues, le griot du ghetto, Mes paroles portent l'histoire de ceux qui luttent en silence. La vie c'est un combat, mais je reste en danse, Sur le rythme du bitume, ma symphonie, ma cadence. Alors, écoute le son de la rue qui respire, Mon rap, un cri de résistance qui inspire. Dans l'ombre, je trouve ma lumière, Car mon rap, c'est la voix de ceux qui espèrent.