je navige dans le vide cosmique tel dans un rêve astral. suis astro l'astronaute instruit, à mon insu. car la vie est belle. et la nuit un rêve entre le bien et le mal, faut faire le choix où c'est échapper entre la rigolade comme Charlie Chaplin, où entrer dans la scène comme El chapo les couilles pleine comme la plaine lune, mal luné prêt à allumer des gens , et passer à la une comme fait d'hiver froid. l'hiver approche donc je prépare une pèle, paire de gants et bonnet pour des grands bonnets association des malfrats. zéro tolérance, pour les balances, dans la balançoires des grands. un regard sombre, un renard sobre, manie d'une sabre katana, pas comme aya Nakamura, mais plutôt comme keny Arkana. écrire une survie, un style de vie unique, urbaine on écrit nos vies car c'est le seule que on à. rimes mes tripes, rire jusqu'a vomir mes tripes à cause de rires la causeries et la connerie adoucit les mœurs anti stress comme la musique universel uni-vers-elle. elles sont seule comme une salle sans monde. dans leurs monde sans amour remplie de préjugés et la discrimination négatif, aulieu de s'ouvrir autres elles font les anti sociales derrière les rideaux visage plein des rides les lèvres froides. nous malgré nos problèmes mashallah on prends plaisir à ala vie. l'hip hop mon fil conducteur, c'est dans mes gènes, dans mes abdomen, histoire des ados, alcool bedo et al poème, ma bohème je récite le cycle de la vie dans un rythme rituelle musicale, suis un artiste, appart entière permis autant d'autres j'imite personne perso, je sais pas comment éviter, mais j'imite personne. suis le reflet de mon propre volet où portrait . je me porte bien jusqu'ici tout va bien je dis merci. le futur c'est eux, le singulier c'est moi. Rimes sur rimes je pèterais toujours des barres des rimes. rires sur rires je pèterais des barres des rires.