j'débarque dans l'game comme une bombe, c'que j'rap c'est dla rage en bars, ma voix va rôder jusqu'au nord, c'est claire que j'ai pas l'temp pour les connard été comme hiver c'est que d'la folie policière, chute financière mais comment peut-on être fier, dans mon âme il y a des blessures de guerre, j'm'en calisse que ca sois vulgaire, que du son pour des militaires j'ai la rage comme une bête enfermé dans une cage, mais êtes vous prêt pour le beat qui saccage, ca va faire que du ravage, pour moi ya trop de bavardage, ils sont pas prêt pour le tapage, tu veux me ratrappé faut faire page par page, moi je ne suis pas une pute de clavardage, mais je suis plutôt la avec le mic pour faire du sabotage, que des choses injuste dans la vie, maintenant faut qu'ont assure nôtre propre survie, mais pourquoi à chaque jour j'me sent suivis, c'est maintenant des bars qui les poursuivis ici c'est l'silence totale ici c'est gravement brutal, le flow est colossale, le beat est vraiment sale, je ne suis pas ton caporal, grande évasion carcérale, oui j'en ai fait des choses illégale, en dévorant les rapper j'me régale, nous somme pas tous égale nous sommes plutôt inégale l'underground du beat te fait sauté l'cerveau, yon caché leur dope dans l'auto, au finale ils sont devenue rivaux, ont est tanné du cartier, dla dope dans les sac de papier, des dépanneur braqué, ici ya beaucoup trop d'pauvreté, le buzz s'est légalisé ils voudront surement m'exterminer mais je vais pas flancher mon beat fait craqué ton planché, beaucoup de cartier défavorisé, des pays vaporiser, le monde est en train de s'entretuer, ca ne va peut-être pas s'arrêter, des kilo de weed exporter, y en ont trop transporter, mon flow vous fait transpirer, je ne me suis jamais inspirer car si je le fait tout va s'terminer, quand j'rap le mic devien désintégré