il me frappait avec tout ce qui lui tombe sous la main
Il la frappait avec tout ce qui lui tombait sous la main"il la considérait même comme un être humain Sur son visage, des cicatrice bien visibles.c'était un homme tellement imprévisible au début c'était un couple paisible. malheureusement il cachait bien son jeu un jeudi elle décide de faire des aveu la première gifle à commencé un jour de pluie malheureusement pour moi j'ai préféré nuancé vue les violences que j'ai subi par la suite il me frappait avec tout ce qui lui tombait sur la main il ne me considérait même pas comme un être humain c'était inhumain ce que j'ai subi jetait souvent chez moi comme un zombie il me frappait au visage pour être moin jolie bonne a rien il me disait tu ne sera jamais rien sens moi il me disait stigmates de la violence qu’elle a subie pendant vingt ans. Elle en a beaucoup d’autres encore, cachées par ses vêtements. "Il me frappait avec tout ce qui lui tombait sous la main, n’importe où sur le corps. Et au niveau du visage, c’était pour frapper des endroits où on peut être moins jolie", dit-elle, en se tordant les mains, stressée de raconter une histoire qui lui fait encore tellement mal. La première gifle est arrivée au bout d’un an de concubinage. Puis les insultes : "grosse pute", "salope", "bonne à rien". Puis les premiers "coups de boule", jusqu’aux séjours à l’hôpital : "Il m’a fait deux
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Il la frappait avec tout ce qui lui tombait sous la main"il la considérait même comme un être humain Sur son visage, des cicatrice bien visibles.c'était un homme tellement imprévisible au début c'était un couple paisible. malheureusement il cachait bien son jeu un jeudi elle décide de faire des aveu la première gifle à commencé un jour de pluie malheureusement pour moi j'ai préféré nuancé vue les violences que j'ai subi par la suite il me frappait avec tout ce qui lui tombait sur la main il ne me considérait même pas comme un être humain c'était inhumain ce que j'ai subi jetait souvent chez moi comme un zombie il me frappait au visage pour être moin jolie bonne a rien il me disait tu ne sera jamais rien sens moi il me disait stigmates de la violence qu’elle a subie pendant vingt ans. Elle en a beaucoup d’autres encore, cachées par ses vêtements. "Il me frappait avec tout ce qui lui tombait sous la main, n’importe où sur le corps. Et au niveau du visage, c’était pour frapper des endroits où on peut être moins jolie", dit-elle, en se tordant les mains, stressée de raconter une histoire qui lui fait encore tellement mal. La première gifle est arrivée au bout d’un an de concubinage. Puis les insultes : "grosse pute", "salope", "bonne à rien". Puis les premiers "coups de boule", jusqu’aux séjours à l’hôpital : "Il m’a fait deux
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