Ne vous demandez jamais si le monde change, si vous voyez que le monde est des lâcheurs, Toujours les mêmes regrets, mes regrets qui sont hauts comme une bite dure, le même vide qui disparaît et revient chaque décennie, Toujours hâte d'être la nuit, déjà taillé avant que le d.a.s ne le décide, quand le d.a.s m'éloigne de ma mère il voulait me faire perdre la tête, mais pour m'élever je compte sur la lune, J'étais seul au collège, il était tous heureux, me confie pas, j'avais besoin de ma mère, ça ne m'a pas été possible, seul au fond de la classe, quand j'ai arrêté le collège j'ai compris que mon chemin serait différent d'eux, triste quand je suis rentré dans ma famille d'accueil, j'avais tellement le cerveau brisé que je me suis évanoui, Bizzare s'évader, tellement jeune , c'est batard , ma tête à vite relâché, ( Refain ) Je suis parti, j'ai suivi la lune, Fille de l'ange Isis, à qui j'embrasse, et quand je reviens, je veux seulement traîner jusqu'au dernier train parce qu'à la maison avec mamie c'est le bordel, une enfance seule, née comme Enzo et Teddy dans mon frère, A peine 12 ans, galère a roulé mon premier joint, mes premières fugues, mon premier g.a.v, Peur de grandir pour avoir fait ce dont j'étais privée, toujours triste d'avoir compris si jeune, d'avoir l'air d'une skisofraine,