Bagares et puis disputes familiales, j l’es toujours vécus toute ma vida, je sentais tout mon corps se vider mais la rue m’a pris m’a consoler, toute suite j’ai pris goût à la street, je rentrais tard le soir à la son-mai, j pouvais pas le dire à la mama, que son dils vend cocaïna, midi les keufs déscendes pour faire la fouille, mais t’inquiète j’ai tout cacher donc pas d’embrouille , putin que j’ai peur de finir au fond du trou, comprend moi je le fais juste pour les sous J recupère tous les produits et j célophane dans la cité, la voisine d’en face m’a vu mais bon j dois continuer de dealer, et bon là c’est le début et je ne peut encore arrêter, la street elle est faite pour des vendus pour une barre de shit tu te fait péter, tu te fait péter, ça vend la neige même en été, la rue c’est remplis de briganter, t’avait pas à jouer au grand guinter, à deux sur la moto pour te rafaler Refrain: à force de se faire la rue, à la fin on est devenu des caniveau, j chanterais l quartier toute ma vie même si j’ai plein de sei-llo, et tu sait c que l’ancien m’a dit < fait attention trop d’oseille ça rend parano > Trop d’oseille rend parano, la vue j l’aurais sur panama, full contact dans le 4anneau , réussir pour la mama, être connu connu jusqu’à monaco, des villas j’en aurais ocho, et j jubilerais comme christiano ronaldo