triste momet
SÃLÌ SÃLÏOU ÃWÏLyo! yo! Lil YEM'S se si est mon histoire les gare !!! yo ! yo ! yo? "La nuit tombe et ces expoirs qui quittent mes veines me ramènent à nos "je t'aime", froid et brisés, la tristesse a chassé ma sagesse car je sais que toi, tu ne reviendras jamais. Comment faire le deuil de ce qui n'est pas encore mort ? Petit enfant perdu, plaidant sa cause au vent des feuilles mortes, chantant les louanges blessés de cet amour perdu qui ne veut pas quitter son corps. Incapable de se libérer de ses chaînes, cadenassé à un bouquet de roses fait de "je t'aime", à un boulet de proses fait de poèmes. Oubliant peu à peu que dehors le soleil brille, s'accrochant à son âme écorchée tel un violoniste à son archer, le petit enfant pleure, mais il ne veut pas lâcher cet espoir qui l'a vu naître. De ses cendres il veut renaître, à travers ses lettres il veut être, puis remonter le temps sur le dos d'une commette et oublier que le ciel est inerte. Voguer sur des pages internet pour oublier qu'il ne fait plus bon vivre dans sa tête, le petit enfant n'a jamais demandé à grandir, il aurait aimé ne jamais voir cette histoire mourir, ne jamais devoir, pour pouvoir survivre au désespoir s'écrire, désormais le petit enfant n'écrit plus pour sourire, mais pour ne plus souffrir. Il scrute le ciel à la recherche de son étoile perdu, les yeux brodés de larmes, il se jure que s'il parvient à retrouver son âme, elle ne partira plus. Que la tristesse est belle dans les yeux d'un inconnu, mais le petit enfant lui n'y croit plus, conscient que rien ne peut mieux abattre un vécu qu'un amour sans retenue, il se laisse bercer par le temps et attend la mort comme on attend le marchand de glaces au coin des rues. La ville est libre, mais le petit garçon est perdu, il ère dans les rues, sous ses pieds les pavés vibrent, mais il continue sa traversée, triste et sans abri, il écrit, s'écrit, mais ne veut pas admettre qu'il a tou
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yo! yo! Lil YEM'S se si est mon histoire les gare !!! yo ! yo ! yo? "La nuit tombe et ces expoirs qui quittent mes veines me ramènent à nos "je t'aime", froid et brisés, la tristesse a chassé ma sagesse car je sais que toi, tu ne reviendras jamais. Comment faire le deuil de ce qui n'est pas encore mort ? Petit enfant perdu, plaidant sa cause au vent des feuilles mortes, chantant les louanges blessés de cet amour perdu qui ne veut pas quitter son corps. Incapable de se libérer de ses chaînes, cadenassé à un bouquet de roses fait de "je t'aime", à un boulet de proses fait de poèmes. Oubliant peu à peu que dehors le soleil brille, s'accrochant à son âme écorchée tel un violoniste à son archer, le petit enfant pleure, mais il ne veut pas lâcher cet espoir qui l'a vu naître. De ses cendres il veut renaître, à travers ses lettres il veut être, puis remonter le temps sur le dos d'une commette et oublier que le ciel est inerte. Voguer sur des pages internet pour oublier qu'il ne fait plus bon vivre dans sa tête, le petit enfant n'a jamais demandé à grandir, il aurait aimé ne jamais voir cette histoire mourir, ne jamais devoir, pour pouvoir survivre au désespoir s'écrire, désormais le petit enfant n'écrit plus pour sourire, mais pour ne plus souffrir. Il scrute le ciel à la recherche de son étoile perdu, les yeux brodés de larmes, il se jure que s'il parvient à retrouver son âme, elle ne partira plus. Que la tristesse est belle dans les yeux d'un inconnu, mais le petit enfant lui n'y croit plus, conscient que rien ne peut mieux abattre un vécu qu'un amour sans retenue, il se laisse bercer par le temps et attend la mort comme on attend le marchand de glaces au coin des rues. La ville est libre, mais le petit garçon est perdu, il ère dans les rues, sous ses pieds les pavés vibrent, mais il continue sa traversée, triste et sans abri, il écrit, s'écrit, mais ne veut pas admettre qu'il a tou
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