Niko Van Damme
Niko Van Damme

bink bink mes pensé

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14 Oct 2021

Dimanche_matin 27 mars 2016 à 22:51:44 Yo, c'est moi, un petit couplet  Je suis, donc je pense Nos destins se croisent pêle-mêle, j’dois distancer Le cours du temps à l’aide du cours de mes pensées Trop peu sensés, les miens se déchirent au final Mais ils oublient que ce n’est pas le plus violent qui fera le plus mal L’homme-animal sur fond de contradiction S’interroge plus sur l’oraison et la diction de son discours Que sur le sens et la raison de ses esbroufes. Peut-on acclamer nos valeurs ? L’omerta nous dirige, Défait les fondations que nos ancêtres érigent. Les riches ont l’monopole des lois et des cœurs On s’ra jamais d’accord, donc celui qui aura le plus raison Sera toujours celui qui fera le plus peur. L’enfant apeuré a pleuré ses heurts face aux erreurs humaines Minimisé son avenir en voyant son corps dans une benne Couleur ébène : il est mort-né. Le nectar de la misère est ordonné par Lucifer Doit-il s’en contenter ou légiférer sa propre vie ? Agir dans l’illicite qui de sa nature dévie ? Tout est vice, valeurs immorales, dégénérescence totale Seul soliste de la chorale, on l’expose sans crainte Ses pleurs ont habité mon mental et resserré son étreinte Plutôt que de l’émettre sur les chaines ils préfèrent Qu’on bouffe leurs programmes délétères Les mêmes connards des mêmes télés réalités se mettent en scène Soyons mécènes des œuvres exposées sans néons, ou historiens du néant L’histoire a ses raisons que les tyrans connaissent, en somme elles sont aberrantes Tenus en laisse ou délaissés et condamnés à l’errance Car dans l’aisance, le pire fléau qui subsiste est l’ignorance. Comme dit le rappeur : « Je suis, donc je pense.

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3 years ago

Dimanche_matin 27 mars 2016 à 22:51:44 Yo, c'est moi, un petit couplet  Je suis, donc je pense Nos destins se croisent pêle-mêle, j’dois distancer Le cours du temps à l’aide du cours de mes pensées Trop peu sensés, les miens se déchirent au final Mais ils oublient que ce n’est pas le plus violent qui fera le plus mal L’homme-animal sur fond de contradiction S’interroge plus sur l’oraison et la diction de son discours Que sur le sens et la raison de ses esbroufes. Peut-on acclamer nos valeurs ? L’omerta nous dirige, Défait les fondations que nos ancêtres érigent. Les riches ont l’monopole des lois et des cœurs On s’ra jamais d’accord, donc celui qui aura le plus raison Sera toujours celui qui fera le plus peur. L’enfant apeuré a pleuré ses heurts face aux erreurs humaines Minimisé son avenir en voyant son corps dans une benne Couleur ébène : il est mort-né. Le nectar de la misère est ordonné par Lucifer Doit-il s’en contenter ou légiférer sa propre vie ? Agir dans l’illicite qui de sa nature dévie ? Tout est vice, valeurs immorales, dégénérescence totale Seul soliste de la chorale, on l’expose sans crainte Ses pleurs ont habité mon mental et resserré son étreinte Plutôt que de l’émettre sur les chaines ils préfèrent Qu’on bouffe leurs programmes délétères Les mêmes connards des mêmes télés réalités se mettent en scène Soyons mécènes des œuvres exposées sans néons, ou historiens du néant L’histoire a ses raisons que les tyrans connaissent, en somme elles sont aberrantes Tenus en laisse ou délaissés et condamnés à l’errance Car dans l’aisance, le pire fléau qui subsiste est l’ignorance. Comme dit le rappeur : « Je suis, donc je pense.

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